Depuis des années maintenant, nous entendons parler de la pénurie de logements abordables. Le dossier a fait son entrée dans la campagne électorale ces derniers jours. Ce qui est la moindre des choses… compte tenu de l’éloquence des chiffres !
Pour rappel, le taux d’inoccupation des logements a atteint 1,9 % à Montréal en juin 2019, son seuil le plus bas depuis plusieurs années. Pour les logements familiaux de trois chambres ou plus, la proportion chute à 0,8 %. La valeur des propriétés, pour sa part, connaît une hausse de près de 14 % pour 2020.
Ce que ces chiffres ne disent pas, c’est que cette crise du logement a un impact différent sur les femmes.
La panoplie de promesses et de mesures annoncées doit impérativement prendre en compte les besoins spécifiques des femmes.
À défaut de quoi le prochain gouvernement, quel qu’il soit, fera fausse route.
Lire la suite de cette lettre, rédigée par Mélanie Thivierge, Présidente et directrice générale du Y des femmes de Montréal, dans La Presse +.
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