Les histoires des suicides de Jean-François, d’Olivier et de Lili racontées par Patrick Lagacé et Rima Elkouri ont ému et choqué le Québec. Des vies précieuses qui auraient peut-être pu être sauvées – qui sait – si les mailles du filet qui les entouraient avaient été un peu plus serrées.
Les familles ont raconté à ces chroniqueurs leur détresse, leur peine immense, leur horrible sentiment d’impuissance. Aujourd’hui, nous voulons vous raconter une autre facette de ces histoires et mettre en lumière des pistes de solution. Nous voulons vous parler des mains tendues que le « réseau » ne considère que bien peu alors qu’elles sont disponibles et accessibles. Des mains expertes, prêtes et aptes à compléter efficacement le soutien, l’accompagnement et l’encadrement dont les personnes souffrant de problèmes de santé mentale ont tellement besoin.
Lire la suite de cette lettre, rédigée par Mélanie Thivierge, Présidente et directrice générale du Y des femmes de Montréal, dans La Presse +.
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